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JAAZ LE K

22 novembre 2011

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22 novembre 2011

POUR OSMOND

POUR OSMOND

22 novembre 2011

BAC

DEDIER A BILKRIZ OSMAOND
11 novembre 2011

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detail

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=-r804RK5Y3c

11 novembre 2011

SALUTATION

COUCOU A BANBO ET YAS
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31 octobre 2011

Philosophes Grecs Aristote Epicure

29 octobre 2011

Les équipes de volontaires collectant les morts

Les équipes de volontaires collectant les morts dans les ruines de Syrte, la ville fantôme où Mouammar Kadhafi se terrait avant d'y être capturé le 20 octobre, ont indiqué qu'elles continuaient d'y découvrir des dizaines de cadavres, souvent non identifiés.

"On a enterré plus de 500 corps depuis dimanche dernier, et on continue à en trouver à travers la ville. La plupart sont des combattants, je pense, mais je ne suis pas sûr", raconte un des volontaires occupés à la sinistre tâche, Ibrahim Souleymane, qui ne sait pas si d'autres équipes effectuent la même tâche dans d'autres parties de la ville.

Sur le site d'une société de traitement des eaux située dans le quartier n°2, où les forces de l'ancien dirigeant s'étaient réfugiées avant leur déroute, les volontaires ont découvert 26 tombes sommaires, marquées par des parpaings qui ne mentionnent aucun nom.

Au milieu des bâtiments de la société ravagés par les combats, les corps sont enterrés très peu profondément dans le sable, près d'un grand réservoir d'eau, et l'odeur de leur décomposition se fait très nettement sentir, a constaté un journaliste de l'AFP. Pour Ibrahim Souleymane, il s'agit sans doute de combattants pro-Kadhafi, "enterrés à la hâte" par leurs frères d'armes après avoir été tués lors d'affrontements contre les forces du Conseil national de transition (CNT), mais l'information est impossible à vérifier.

Des cadavres sont aliginés sur le sol le 22 octobre 2011 à Syrte (Photo Philippe Desmazes/AFP/Archives)

Dans le centre de Syrte, au croisement de la rue de Dubaï et de la rue du 1er Septembre, des membres de l'association caritative libyenne Djebel Al-Akhdar ont affirmé à l'AFP que "plus de 50 corps" de civils se trouvaient sous un immeuble de plusieurs étages détruit par une frappe aérienne de l'Otan.

"Il y a plus de 50 corps de civils sous les décombres, des femmes, des enfants. C'est horrible. On ne peut pas y accéder, il faudrait des bulldozers", a déclaré un membre de l'association, Mohammed Muftah, les larmes aux yeux. Des habitants du quartier se tenant à ses côtés ont confirmé l'information, et une forte odeur de cadavres pourris flottait sur les ruines.

Selon Ayman Ibrahim, autre membre de Djebel Al-Akhdar, "l'immeuble s'est écroulé après une frappe de l'Otan". Un cratère de 7 mètres de diamètre rempli d'eau, coupant la rue de Dubaï voisine, attestait en tout cas d'une frappe de l'Otan sur la zone, aucune arme des pro-CNT ou des pro-Kadhafi n'étant en mesure de produire pareilles destructions.

"On roule à travers la ville, on cherche, on demande aux gens. Parfois les gens viennent nous voir pour nous dire qu'il y a des corps chez eux", explique un autre volontaire, Mohammed Younès Al-Hemali. "Les familles, quand elles rentrent chez elles, trouvent souvent un corps ou une tombe de fortune dans leur propriété", raconte-t-il.

Depuis la fin des combats le 20 octobre, les découvertes de cadavres se succèdent à Syrte. Quelque 65 à 70 corps avaient ainsi été découverts pourrissant sur la pelouse de l'hôtel Al-Mahari, certains ligotés, souvent la tête trouée d'une balle.

Le corps d'un homme mains liées dans le dos gît sur le sol le 22 octobre 2011 à Syrte (Photo Philippe Desmazes/AFP/Archives)

Les combattants pro-CNT assurent qu'il s'agit de camarades exécutés par les pro-Kadhafi avant leur fuite, mais l'ONG Human Rights Watch, qui a mené une enquête et établi que quatre des victimes étaient des habitants de Syrte proches de Mouammar Kadhafi, estime qu'il s'agit plutôt de pro-Kadhafi sommairement exécutés par les pro-CNT.

Non loin de là, quelque 200 corps avaient également été retrouvés dans et autour des restes du convoi, détruit par une frappe de l'Otan, dans lequel Mouammar Kadhafi avait tenté le 20 octobre de fuir Syrte, avant sa capture et sa mort dans des circonstances troubles.

29 octobre 2011

ACTU

Les opérations de recherches menées depuis le séisme qui a frappé dimanche dernier la province turque de Van (est) et fait 582 morts selon un nouveau bilan, touchaient à leur fin samedi soir, les chances de retrouver des survivants est désormais infime, a-t-on indiqué de source officielle.

La dernière personne extraite vivante est un garçon de 12 ans, sauvé vendredi, 108 heures après le tremblement de terre d'une magnitude de 7,2, à Ercis, ville la plus touchée.

Au total, 231 personnes ont été sauvées des gravats après le séisme, qui a fait 582 morts et plus de 2.600 blessés, selon un dernier bilan annoncé samedi par le vice-Premier ministre Besir Atalay.

Il a indiqué que les travaux de recherches pour des survivants dans les décombres prendront fin samedi soir. "Les secouristes travaillent encore dans les ruines de quatre immeubles d'Ercis. Ce soir ce sera terminé," a-t-il déclaré devant la presse à Van, la capitale régionale.

Ferhat Toka, un garçon de 12 ans extrait le 28 octobre 2011 des décombres à Ercis (Photo -/AFP)

Des travaux se poursuivaient encore à 15H00 GMT dans au moins deux chantiers, a indiqué la chaîne d'information NTV.

Le ministre a remercié la communauté internationale "pour sa sensibilité" envers les sinistrés et affirmé que l'électricité, le gaz, l'eau courante et le réseau de télécommunication avaient été rétabli dans l'ensemble de la région.

M. Atalay a surtout demandé aux Turcs mobilisés pour les sinistrés de leur envoyer des vêtements chauds car les hivers sont particulièrement rudes dans la zone.

Des rescapés du séisme en attente de distribution de nourriture le 29 octobre 2011 à Ercis (Photo Adem Altan/AFP)

Le ministre de l'Urbanisation, Erdogan Bayraktar, à pour sa part assuré que de nouveaux logements seraient prêts pour les rescapés d'ici septembre 2012. Et d'ici là ils seront logés en principe dans des conteneurs et des maisons préfabriquées, a-til ajouté.

La pluie et la neige ajoutent à la détresse des rescapés qui tentent de refaire leur vie dans des villages de toile.

A Van, les bulldozers qui ont amorcé jeudi les travaux de déblaiement après qu'un point soit final mis aux espoirs de nouveaux sauvetages dans cette agglomération, ont travaillé pendant toute la journée et ont rasé certains bâtiments lourdement endommagés qui présentaient un risque.

Et à Ercis, des pelleteuses en ont fait de même pour plusieurs immeubles dangereusement inclinés. Les secouristes tentaient d'atteindre quelques cadavres bloqués encore sous les amas de fer et de béton.

"Il n'est plus possible, à moins d'un gros miracle, de trouver des personnes en vie dans les débris, par ce froid", a expliqué sur la chaîne CNN-Türk, un secouriste et médecin turc.

L'armée accompagne depuis vendredi les camions d'aide humanitaire, après le pillage de plusieurs véhicules du Croissant-Rouge turc.

Dans l'ensemble du pays, les Turcs ont par ailleurs célébré samedi, dans le deuil, le 88e anniversaire de la fondation de la République le 29 octobre 1923, manifestant leur compassion à l'égard des victimes.

Les traditionnelles parades militaires et les festivités ont été annulées.

Dans un discours, le président turc Abdullah Gül a critiqué le manque de contrôles du respect des normes de construction, qui explique la présence de bâtiments de "mauvaise qualité".

Plus de 5.000 immeubles se sont effondrés à Van, relançant la polémique sur le non respect des normes sismiques et l'honnêteté des constructeurs.

Face à la catastrophe, la Turquie a accepté mercredi les offres d'aide d'une douzaine de pays, dont Israël et l'Arménie, deux pays avec lesquels elle entretient des relations difficiles.

Les Etats-Unis ont aussi envoyé une aide humanitaire à leur allié turc de l'Otan. Le secrétaire à la Défense Leon Panetta a ordonné vendredi l'envoi d'un avion militaire chargé d'aide à la Turquie.

29 octobre 2011

Samedi 29 octobre 2011, 18h07La Ligue arabe et le

Samedi 29 octobre 2011, 18h07
La Ligue arabe et le secrétaire général des Nations Unies ont condamné les meurtres de civils en Syrie, après une nouvelle journée de violences ayant fait une cinquantaine de morts vendredi.

Ces condamnations interviennent à la veille d'une rencontre attendue à Doha entre le comité ministériel arabe, qui a proposé sa médiation pour trouver une issue à la crise syrienne, et une délégation du régime de Damas.

"Le comité ministériel arabe a exprimé son rejet des meurtres de civils qui se poursuivent en Syrie et l'espoir que le gouvernement syrien prendra les mesures nécessaires pour les protéger", a affirmé la Ligue arabe dans un message adressé au président Bachar al-Assad.

Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a demandé de son côté "la fin immédiate des opérations militaires contre les civils". "La violence est inacceptable et doit cesser immédiatement", a-t-il dit, exhortant les autorités à entreprendre "des réformes ambitieuses" pour répondre eux attentes de la population.

Le ministère syrien des Affaires étrangères s'est déclaré "étonné que le comité arabe ait basé sa position sur les mensonges diffusés par les chaînes de télévision qui incitent" à la violence, selon un communiqué rapporté par l'agence officielle Sana.

Capture d'écran d'une vidéo YouTube du 28 octobre 2011 de manifestants anti-régime à Alep avec des pancartes s'adressant à la Ligue arabe (Photo /YouTube/AFP)

"Le comité aurait dû aider à calmer (les choses) et parvenir à une solution pour obtenir la sécurité et la stabilité en Syrie au lieu de raviver les dissensions", a-t-il poursuivi, assurant que le ministre des Affaires étrangères, Walid Mouallem, informerait le comité dimanche à Doha "de la véritable situation en Syrie".

De nouvelles discussions sont prévues dimanche au Qatar entre des responsables syriens et une délégation ministérielle de la Ligue arabe. Cette délégation avait été reçue mercredi par M. Assad, une rencontre que les ministres arabes avaient qualifiée de "franche et amicale".

Vendredi, la Syrie, secouée depuis mi-mars par un mouvement de contestation, a connu l'une des journées les plus violentes depuis des semaines, avec 36 civils tués par les forces de sécurité cherchant à disperser des manifestations, essentiellement à Homs et à Hama (centre), selon des organisations syriennes de défense des droits de l'Homme.

En outre, plus d'une centaine de personnes ont été blessées et 500 autres arrêtées à travers le pays, selon le président de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), Rami Abdel Rahmane.

Parallèlement, des affrontements entre l'armée et des déserteurs à Homs ont fait au moins 17 morts parmi les soldats dans la nuit de vendredi à samedi, selon l'OSDH, qui a fait état d'un total de plus de 40 victimes -morts ou blessés- des deux côtés.

Escalade de la répression en Syrie (Photo /AFP)

Les militants anti-Assad avaient appelé à manifester vendredi pour réclamer une zone d'exclution aérienne au-dessus de la Syrie, à l'image de la Libye, afin de donner plus de latitude à l'"armée syrienne libre", une force d'opposition armée formée essentiellement de déserteurs.

Les défections et les affrontements entre soldats et déserteurs se sont multipliés ces dernières semaines.

Les violences n'ont pas cessé samedi, faisant quatre morts parmi les civils dans la région de Homs, troisième ville de Syrie et l'un des foyers de la révolte.

Un jeune homme a été tué par un tireur embusqué dans le quartier Deir Balaa et deux autres ont péri quand les forces de l'ordre ont pilonné le quartier Baba Amr à la mitrailleuse lourde, a annoncé l'OSDH, basé au Royaume-Uni.

Une femme de 45 ans a par ailleurs été tuée par un tireur embusqué à Talbissé, près de Homs, selon la même source.

D'après l'OSDH, cette région "a donné 40% des martyrs de la révolution syrienne", dont la répression depuis le 15 mars a fait, selon l'ONU, plus de 3.000 morts.

Dans le gouvernorat d'Idleb, près de la frontière turque, des centaines de soldats ont été déployés à Saraqeb et les militants sur place s'inquiétaient d'une "possible invasion militaire de cette ville", selon l'OSDH.

Par ailleurs, une société américaine spécialisée dans les moyens de censure sur internet, Blue Coat Systems, a confirmé que Damas utilisait ses produits pour bloquer les activités en ligne des opposants au régime, affirmant que des dispositifs de filtrage vendus au ministère irakien des Communications ont été mystérieusement mis en service en Syrie.

 

29 octobre 2011

ACTU

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Samedi 29 octobre 2011, 18h43
L'ancien président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva est atteint d'un cancer du larynx, a annoncé samedi dans un communiqué l'Hôpital Syro-Libanais de Sao Paulo où il a été admis, une nouvelle qui a pris par surprise le Brésil où il reste une référence politique majeure.

 

L'ancien président très charismatique, qui a gouverné le Brésil de 2003 à 2010 et a fêté ses 66 ans il y a deux jours, a subi des examens qui ont montré qu'il était atteint "d'une tumeur localisée dans le larynx", et il subira un traitement de chimiothérapie, précise l'hôpital.

 

"Le patient se porte bien et doit suivre le traitement sous forme ambulatoire", indique-t-on de même source.

 

Le porte-parole de l'Institut Citoyenneté, fondé par Lula à sa sortie du pouvoir, José Chrispiniano, a précisé dans un communiqué samedi que le président, ex-fumeur, "s'était rendu à l'hôpital car il avait mal à la gorge". Connu pour sa voix rauque, il était également "plus enroué que la normale", souligne la presse.

 

Le président commencera la chimiothérapie lundi, selon M.Chrispiniano.

 

Un porte-parole de l'hôpital a dit à l'AFP que le chef de file du Parti des Travailleurs (PT-gauche) devrait quitter l'établissement dans l'après-midi de samedi. On ignore combien de séances il devra subir, selon la source.

 

Des agents de sécurité devant l'entrée de l'hôpital de Sao Paulo où est hospitalisé l'ex-président brésilien Lula, le 29 octobre 2011 (Photo Yasuyoshi Chiba/AFP)

 

Lula, un ancien mécanicien, a quitté le pouvoir après huit ans de présidence l'an dernier avec une popularité record de 80%. Durant son mandat, il a appliqué des programmes sociaux qui ont permis à plus de 29 millions de Brésiliens de sortir de la pauvreté et placé son pays au centre de la scène diplomatique internationale.

 

Après avoir quitté le pouvoir et réussi à faire élire sa dauphine politique, Dilma Rousseff, 63 ans, une ex-guérillera sous la dictature (1964-85), Lula est resté actif en donnant des conférences à travers le monde et en recevant divers hommages comme le titre de Docteur Honoris Causa à la Sorbonne en septembre dernier.

 

Il a gardé également un rôle essentiel de coordination politique au sein de son Parti des travailleurs (PT, au pouvoir).

 

Il a ainsi inauguré un pont cette semaine à Manaus, en Amazonie (nord du Brésil) au côté de la présidente Rousseff avant de fêter son anniversaire à Sao Bernardo do Campo, dans la banlieue de sao Paulo, où il vit.

 

"Je suis fier d'avoir consacré plus de la moitié de mes 66 ans à la lutte pour la conquête de la démocratie de ce pays", a dit Lula dans une vidéo postée sur le site de son institut pour répondre aux messages de "Bon anniversaire" envoyés par des admirateurs.

 

L'Hôpital Syro-Libanais de Sao Paulo où Lula sera soigné est spécialisé dans le traitement contre le cancer et avait traité José Alencar, vice-président de Lula, qui avait succombé en mars dernier à un cancer généralisé dans la région abdominale, qu'il avait développé depuis 1997.

 

En 2009, en pleine campagne électorale, Dilma Rousseff, avait suivi un traitement pour un cancer du système lymphatique à la suite duquel les médecins l'ont déclarée complètement guérie.

 

Le président paraguayen Fernando Lugo, 60 ans, s'était aussi vu diagnostiquer un cancer lymphatique en août 2010 et avait subi six séances de chimiothérapie à Sao Paulo et Asuncion. En décembre, ses médecins ont dit que les tumeurs avaient disparu.

 

Le président vénézuélien, Hugo Chavez, 57 ans, lui aussi diagnostiqué avec un cancer fin juin, a été opéré et traité à Cuba. Le 20 octobre il a déclaré "être débarrassé de la maladie".

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